Auteur de la rédaction « Méthode »
José CASTANO a vu le jour en octobre 1946 dans un village d’Oranie : Ain-el-Turck. En juin 1962, c’est la déchirure. Son père, après avoir été appréhendé pour « activités subversives », est emprisonné, torturé par les gendarmes mobiles du général Katz – « le boucher d’Oran »- puis soigné à l’hôpital d’Oran (pavillon des détenus) d’où il s’évade lors de l’intervention d’un commando de l’OAS. Recherché, traqué par la police française et le FLN, il rejoindra clandestinement la France à bord d’un chalutier.
Après des études secondaires classiques, poussé par la passion du sport, il épousera cette voie et la compétition de haut niveau.
Engagé volontaire, il connaîtra les honneurs du Bataillon de Joinville, deviendra International Militaire d’Athlétisme et, rendu quelques années plus tard à la vie civile, enseignera l’Éducation Physique en milieu scolaire et universitaire. Fidèle à sa promesse, dès 1980 il entame par ses écrits et ses conférences son « œuvre de mémoire ». Auteur de sept livres, dont le « Le péril islamique » devenu ouvrage de référence, et conférencier infatigable, il s’investit dans un combat identitaire pour la sauvegarde des valeurs chrétiennes, contre le fondamentalisme islamique et l’islamisation programmée de la France. Ces travaux littéraires lui ouvrent les portes de la Société des Gens de Lettres de France et de l’Académie des Sciences d’Outre-mer, section littérature.
Poursuivant inlassablement son œuvre de mémoire, il multiplie ses conférences notamment sur « la tragédie de l’Algérie française », « l’Armée d’Afrique » et « les Seigneurs de la guerre » en hommage aux soldats de la Légion étrangère ainsi que sur le péril que représente la montée de l’intégrisme islamique « l’Islam… Religion conquérante ».
Par ses interventions diverses et variées, José CASTANO poursuit inlassablement depuis 1980, à l’écart des partis politiques, le seul combat qui, à ses yeux justifie son action : Rendre à la mémoire des Français d’Algérie et à son armée bafouée, la justice qui leur a été refusée tout au long de leur calvaire.
Et ils partirent vers la Terre promise…
5 mai 1942… La Bataille de Madagascar
L’islamisation de l’Église. Première Partie. Le rôle de l’Église dans la guerre d’Algérie
Colonisation de l’Algérie. Les raisons de la conquête
Le parjure, la trahison et la honte
Les crimes de l’épuration
Majorité pacifique… Minorité agissante : La convergence vers la Terreur !
La bataille de Sidi-Brahim
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