Sur l'auteur
Né en 1971, Charles Demassieux passe son enfance en province, entre la Corrèze et la Sarthe. A partir de douze ans, il vit à Paris où, grâce à la profusion culturelle de la capitale, il se découvrira une passion pour le cinéma, la bande dessinée et plus tard, la musique. Au lycée, il s’intéresse particulièrement à la poésie et au théâtre. Au début des années 1990, il entame des études de Lettres modernes et obtient une maîtrise. À l’université, il commence à rédiger des articles pour des revues étudiantes.
En 1998, il collabore à la revue Jazzosphère et ce, pendant une dizaine d’années, écrivant des textes autour de la littérature, le cinéma et les arts. À cette occasion, il interviewera Christian Volckman, le réalisateur du film d’animation Renaissance. Parallèlement, il s’essaie à la fiction (romans et nouvelles). Dans les années 2000, après avoir été animateur de centres de loisirs, il travaille dans le milieu de l’édition et croise à cette occasion des auteurs comme Philippe Delerm, Pierre Bergounioux ou Bernard Chambaz. Il est par la suite amené à collaborer avec des psychiatres tels que Michel Soulé et François Lebigot, ainsi que d’autres acteurs de cet univers professionnel.
En 2011, paraît son premier roman : Les chroniques du Chat, récit d’anticipation dont il dira qu’il est un rendez-vous manqué et dans lequel il ne se reconnaît plus. Son second roman, Expositions, paru en 2012, est une histoire érotique qui glisse vers la tragédie. En 2013, il découvre les Éditions Hélène Jacob et y publie ses deux romans suivants : Une légende chrétienne, polar historique inspiré du Nom de la Rose, d’Umberto Eco, et un peu du Da Vinci code, de Dan Brown ; puis, Les vraies fables du conteur Lepeintre, roman à tiroirs qui tourne autour des grands et petits secrets de l’Histoire de France. Il participe aussi aux deux recueils collectifs des éditions Hélène Jacob. Depuis 2012, il écrit des articles politiques pour le site Riposte laïque et depuis peu, Boulevard Voltaire. Son univers romanesque montre son attachement à la France, tant sur le plan historique que culturel, avec une prédilection pour la littérature du XIXe siècle. Et, par-dessus tout, il préfère faire appel à l’imaginaire plutôt que de copier le quotidien tel quel et le restituer sans mise en forme. Ses convictions pourraient se résumer en une phrase : un attachement charnel à l’identité historique de la France et, par-delà, l’Europe chrétienne.
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