Statistiques liées à la mortalité au Grand-Duché du Luxembourg depuis 1950
par Amar GOUDJIL
Depuis le début de cette année 2021 et depuis que nous disposons des premiers chiffres concernant les statistiques démographiques au Grand-Duché du Luxembourg, tous les médias nationaux bien subventionnés par le gouvernement luxembourgeois ne cessent de proclamer que l’année 2020 a été une année particulièrement funeste en matière de mortalité.
Chacun redouble, en effet, d’imagination pour ce qui est de titrer son article d’un point de vue sensationnel. « Surmortalité constatée au Luxembourg en 2020 1» pour le Quotidien, « Il n’y a jamais eu autant de décès depuis 1976 2» selon le journal L’Essentiel ou « 2020, année sur-mortelle3 » pour le WORT et « La Covid impacte la courbe des décès comme jamais4 » pour le plus grand média du pays, RTL, qui reçoit officiellement à lui seul 12 à 13 millions d’euros de la part du gouvernement5.
Figure 1 - Graphique tiré du site de données statistiques www.euromomo.eu
Dans les journaux « gratuits », ce matraquage communicationnel est hebdomadaire quand il n’est pas quasi-quotidien. Des titres tout aussi alarmistes les uns les autres en vue d’effrayer la population et de maintenir les individus sous pression en vue de les amener gentiment et tranquillement vers cette solution d’intérêt privé, la vaccination. Ce procédé tiré de la neuropsychologie que l’on appelle « Pacing and Leading » appliqué à cet escient s’appelle de la manipulation mentale malsaine. Ce n’est rien d’autre.
« More leads, more sales » comme disent les commerciaux de chez Microsoft sauf que là il ne s’agit pas de vendre aux populations mondiale un antivirus informatique. On parle de la vie de milliards d’individus.
Utiliser le terrorisme émotionnel et informationnel pour terroriser les gens afin obtenir d’eux leur consentement et leur adhésion, comme les américains l’ont fait pour l’invasion et le pillage de l’Irak lors de l’après 11 septembre ou comme le font les gouvernements aujourd’hui pour faciliter l’acceptation de ces injections de code génétique appelées à tort vaccinations, est un pur procédé mafieux. C’est un acte criminel. Dans une société saine, il devrait être condamnable.
Nonobstant qu’il n’y ait absolument aucun débat démocratique sur la question de la vaccination en général, du pour et du contre, de l’existence d’une étude cinétique qui démontrerait son efficacité sur une maladie dite infectieuse, sa participation dans l’histoire aux reculs de ces dites maladies, des bienfaits et des risques à peser pour la nécessité de l’acte, il faut savoir qu’il existe pourtant d’innombrables traitements extrêmement efficaces contre la Covid19 mais ni le gouvernement, ni les médias ne les mettent en avant.
Mais pourquoi le feraient-ils ?
Si les médias devaient communiquer sur ces traitements existants et avérés redoutables contre la Covid19, tels que l’Ivermectine ou l’Azithromycine par exemples, comment le gouvernement pourrait-il alors justifier la nécessité d’une vaccination massive et l’instauration d’un passeport vaccinal et la mise en place du QR code qui va ave ? Il ne le pourrait tout simplement pas et les gens comprendraient très vite que quelque chose, dans le scénario officiel, ne tourne pas rond.
Ce matraquage psychomédiatique rébarbatif fonctionne très bien puisque maintenant quasiment toute la population est entrée dans un état de psychose et de schizophrénie collective et celui-ci n’est pas près de s’estomper. Depuis environ un peu plus d’un an, les parents portent des masques à longueur de temps tout en masquant également leurs enfants qui ont pourtant besoin davantage d’oxygène que leurs géniteurs pour leur croissance. Nous parlons là de croissance cérébrale et neurologique mais également de croissance tissulaire, vasculaire et organique. Si un être vivant peut se passer de nourriture pendant des semaines6 et d’eau pendant plusieurs jours7, une défaillance de quelques minutes seulement en oxygène peut lui être fatale, voire mortelle. Nous reviendrons sur ce point en synthèse.
Ce qui est très intéressant maintenant, pour ceux qui ne s’intéressent qu’aux chiffres, aux sciences exactes et aux sciences dures comme le sont les statistiques, c’est de voir qu’au Grand-Duché du Luxembourg, il y a une réelle contradiction entre les statistiques sur les décès, on ne peut plus officielles, et le narratif que soutiennent les médias et les politiques qui, eux, affirment qu’il y aurait une pandémie et que celle-ci ferait des ravages.
Mais qu’en est-il réellement de cette surmortalité et de cette présupposée pandémie ?
Cela valait-il la peine de détruire l’économie, la société, la famille et la vie « normale » telle que nous la connaissions avant, c'est-à-dire avant que l’OMS, cette structure privée financée par des intérêts privés aux semblants de cause publique, ne déclare le 11 mars 2020 un état officiel de pandémie ?
Avant de voir plus en profondeur pourquoi il y une totale contradiction entre les discours politiques et médiatiques et la réalité scientifique, regardons d’abord ce qu’il en est de l’évolution de la mortalité au Grand-Duché du Luxembourg depuis 1950.
1 La réalité statistique en chiffres
Tableau réalisé par Amar pour l’association « EUROPEAN FORUM FOR VACCINE VIGILANCE » - www.efvv.eu
. TBM : Taux Brut de Mortalité. TDC : Taux de croissance des décès. Espérance de vie au Luxembourg : 82 ans pour les hommes, 84 ans pour les femmes. Âge moyen au décès déclaré décédé avec la covid19 : chiffres disponibles nulle part.
Âge moyen au décès toutes causes confondues en 2020 : 74,8 ans pour les hommes ; 81 ans pour les femmes. Graphique 4 de cette publication du STATEC titrée : « L’ÂGE MOYEN DES PERSONNES DÉCÉDÉES LORS DES DIX PREMIERS MOIS DE L’ANNÉE 2020 NE VARIE GUÈRE PAR RAPPORT AUX ANNÉES PRÉCÉDENTES ». Sources des données des tables ci-dessus (1, 2 et 3) : https://statistiques.public.lu/stat/TableViewer/tableView.aspx ReportId=12886&IF_Language=fra&MainTheme=2&FldrName=2&RFPath=96, https://statistiques.public.lu/stat/TableViewer/tableView.aspx
ANALYSE DU TABLEAU
a) Le tableau a été réalisé à partir des données publiées sur le site www.statistiques.Public.lu8 du Grand-Duché du Luxembourg. Ce sont les statistiques officielles de l'état.
b) La Population du Grand-Duché a plus que doublé en 70 ans puisqu'elle passe d'un peu moins de 300'000 habitants en 1950 à près de 630'000 habitants au 1er janvier 2021.
c) Le taux brut de mortalité, qui représente en pourcentage le nombre décès survenus au cours de l'année au sein de la population totale, est en constante diminution depuis 1950. A partir de 2010, la valeur de cette part au cœur de la population totale tend à se stabiliser sur l'étendue d'une fourchette de 0,70% - 0,74 %.
d) Le taux de croissance des décès nous donne une indication sur le comportement de la mortalité d'une année sur l'autre ou d'une période sur l'autre. La mortalité d'une population dépend toujours de sa taille et de sa structure. Ce qui donne lieu à 2 notions : l'effet de taille et l'effet de structure. Ces derniers pouvant biaiser l'étude et l'interprétation d'une mortalité si l'on n'en tient pas compte. A ces deux effets vient s'ajouter un 3ème. Il s'agit de l'effet de moisson. C'est un effet de rattrapage et de régulation de la mortalité. Il se manifeste tous les 2, 3, 5, 6 ou 7 ans et ce n'est pas un phénomène régulier. Il se manifeste toujours car la mort est certaine pour tous les individus mais il n'a pas de régularité car les grippes, qui emportent souvent et beaucoup de nos personnes âgées, ne sont pas toutes les mêmes d'une saison à l'autre ou d'une année à l'autre et n'ont donc pas toujours la même virulence et la même létalité au sein des cohortes sensibles. Dans le tableau ci-dessus, l'étude n'est pas complète car il aurait fallu disposer des statistiques pour chaque année depuis 1950 pour traiter le sujet. Mais les quelques indications dont nous disposons peuvent nous permettre de comprendre comment ces phénomènes se manifestent et interagissent. Les années de moisson sont en rouges et les années de faible mortalité ou de déficit arithmétique sont en verts. Ainsi, si l'Europe a eu plus de décès pour l'année 2020 par exemple, c'est parce que la structure de sa population se caractérise par une structure en entonnoir, c'est-à-dire que nous vivons sur un continent où il y a de plus en plus de retraités et de moins en moins de populations jeunes à l'inverse des pays du Maghreb ou d’Asie qui eux, ont souvent des pyramides des âges en forme de feuille chêne, exprimant ainsi le dynamisme naturel de pays à faibles populations âgées et fortes populations jeunes. D’où l’appellation de pyramide des âges. L'effet de taille venant amplifier l'effet de structure car, plus nous avons un nombre élevé de personnes âgées au sein d'une population N, et plus le nombre de décès va être important lorsqu'arrive un coronavirus grippal de type Hcov-OC43, H1N1, H7N9 ou H5N8. Lorsque le virus est virulent, il précipite vers le décès toutes les personnes âgées vulnérables ayant une faible résistance à la maladie saisonnière (mauvaise immunité, carences vitaminiques et minérales, pas assez d'activité physique, mauvaise alimentation, dérèglements hormonaux, aucune exposition au soleil, exposition au stress, à la solitude et à l’abandon, privation de liens sociaux …) mais il précipite aussi toutes les personnes âgées qui ont survécu durant les années vertes pour diverses raisons et qui ne peuvent pas vivre éternellement.
e) Lorsque l'on étudie la mortalité de l'année 2020, on s'aperçoit finalement qu'il n'y a pas eu de surmortalité. Cette mortalité est même tout à fait normale. Si nous avions été réellement en situation de pandémie ou d'épidémie grave, nous aurions observé un taux de croissance des décès de l'ordre de 15% ou 20%. Ce qui aurait été parfaitement correcte car il aurait fallu tenir compte de la moisson au regard des 2 années précédentes, qui ont été des années favorables aux personnes âgées et à leur longévité d'une part, mais il aurait fallu également prendre en compte les décès survenus en raison de la présupposée dureté de cette maladie appelée COVID19 qui n'est finalement rien d'autre qu'une nouvelle grippe à complication respiratoire d'autre part, mais sans commune mesure avec le SARS-Cov1, le MERS ou la grippe espagnole.
2 Synthèse et conclusion
Au vu de l’analyse des chiffres figurant dans le tableau qui précède, ainsi qu’après lecture du travail réalisé par le STATEC et dont une synthèse de leurs publications sur la mortalité en 2020 est disponible en cliquant ici, nous pouvons dire sans nous tromper qu’il n’y a pas eu de pandémie au Luxembourg en 2020.
Rien de plus qu’une mortalité normale. François Peltier du STATEC, lui, parle d’une « mortalité modérée ».
La fermeture des petits commerces et des restaurants, l’imposition par le gouvernement luxembourgeois de toute une série de restrictions sociales telles que les confinements des populations à la maison ou dans les hôtels, les couvre-feux, les distanciations sociales, les distances physiques, le port du masque imposé partout et pour tous dans les transports et les lieux publics, le port du masque imposé aux enseignants, le port du masque imposé aux enfants dans les écoles et sur les terrains de sport en plein air, la limitation des visites interindividuelles dans les maison de retraite, la mise à l’isolement des personnes âgés et la privation de leurs libertés, les tests Rt-PCR généralisé, les quarantaines imposées aux personnes reçues positives à ces prétendus tests, ainsi que bien d’autres mesures encore, ne sont absolument pas justifiées.
D’un point de vue statistique et scientifique, rien de ce qui précède ne justifie les décisions qu’a prises le gouvernement luxembourgeois.
Une pandémie, au sens démographique du terme, c’est une épidémie déclarée qui atteint un seuil critique après avoir justifié que trois conditions sine qua none soient réunies. La première se fonde sur l’apparition et la propagation d’une nouvelle maladie infectieuse au sein d’une population et il faut que cette maladie soit grave et très contagieuse. La seconde se base sur le critère de résonnance ; c'est-à-dire de sa dispersion (vitesse de multiplication et de redistribution) à partir du premier hôte, en l’occurrence le porteur du premier germe infectieux que l’on appelle également le R₀. Le troisième étant le critère géographique, c’est à dire l’étendue et l’expansion de cette nouvelle maladie au-delà d’une certaine zone circonscrite.
Aujourd’hui, si épidémie il y a eu en Chine, celle-ci est en tout cas est terminée depuis mars 2020. Au regard de la faible mortalité qui résulte des chiffres officiels fournis par le gouvernement chinois, il semble que le pays se serait alerté pour pas grand-chose puisque les épidémies de grippe font davantage de morts chaque année, au sein de ce pays immense, que n’en a fait la Covid19.
Pourtant, lorsque l’on écoute les médias et les hommes politiques, ici au Luxembourg, il est toujours question de pandémie mais dans les chiffres, il n’en est rien. Pour qu’une épidémie soit jugée grave et sérieuse, il faudrait que sa maladie touche toutes les tranches d’âges de la population avec plus ou moins le même impact et la même virulence.
Il convient de noter par ailleurs qu’ici, au Luxembourg, les personnes victimes de la Covid19 sont essentiellement des personnes âgées. Les annonces médiatiques du décès de certaines personnalités à l’instar de l’annonce de la mort de Valéry Giscard d’Estaing9 mort à l’âge de 94 ans emporté par la Covid19, et plus généralement d’une moyenne d’âge au décès des déclarés morts avec la Covid19 pour les deux sexes tendant plutôt vers un âge proche de l’espérance de vie moyenne pour ces deux sexes, on se demande même parfois, si les gens ne sont pas morts davantage de stress, de solitude et d’abandon que de la maladie elle-même.
Ici, en l’espèce, le scénario, les décomptes et les mises en scènes s’apparentent davantage à un exercice socio-sanitaire et un simulacre de pandémie ou même à une gigantesque manipulation sociale qu’à une véritable hécatombe démographique.
Ce qui est inquiétant et qui pose vraiment question, est le fait que le gouvernement luxembourgeois continue et persiste, malgré la normalité des chiffres, à imposer des restrictions et à tenir les citoyens sous pression. Ces restrictions, telles qu’elles sont citées en partie plus haut, démontrent bien que nous sommes davantage dans un projet politique de contrôle social s’inscrivant dans une réelle volonté de gestion et de contrôle des populations que dans une crise sanitaire majeure.
Chacun a pu voir tous ces masques jonchant les sols des trottoirs et des parkings jusqu’à finir dans les égouts ou les eaux usées sans que personne au gouvernement n’y trouve quoique ce soit à redire. Soyez certain que jamais dans une pandémie réelle, sérieuse et grave, il n’aurait été permis une pareille négligence.
Après que Colin Powel, Dick Cheney et Georges Bush, et plus largement tous les acteurs du gouvernement américain de la période post 11 septembre 2001, rappelons-le, qui formaient tout de même le gouvernement de la première puissance militaire et économique au monde et le plus grand promoteur de la liberté et de la démocratie sur la planète, après donc qu’ils aient manipulé les peuples en jouant avec une fiole d’anthrax devant le conseil de sécurité de l’ONU pour effrayer le monde et l’amener par ce procédé de manipulation technico-psychologique à adhérer puis à soutenir l’invasion et le pillage de l’Irak, nous sommes en droit aujourd’hui de nous poser des questions légitimes sur la réalité de cette pandémie de même que nous sommes en droit de nous demander si les gouvernements nous disent bien toute la vérité sur la Covid19 et rien que la vérité sur un grand nombre de choses. Notamment sur la fiabilité des tests et l’enregistrement des décès par cause réelle et sérieuse.
Dans une société démocratique et saine, où la vertu serait intrinsèque aux trois pouvoirs qui régissent nos états d’occident, le législatif, l’exécutif et le judiciaire, il conviendrait même, à juste titre, à ce que ce soit maintenant la justice qui enquête sérieusement sur les fondements de cette présupposée pandémie, ses tenants et ses aboutissants, son cadre, ses effets délétères sur la santé des uns et des autres, sur l’abandon de nos retraités et de nos proches, sur le bien-être physique et psychique des enfants et des enseignants, et surtout sur les intérêts sous-jacents qui pourraient lier les gestionnaires de ce projet politique et social aux relents de contrôle totalitaire d’une part, et ses bénéficiaires en attente d’un résultat d’optimum vaccinal, social ou financier d’autre part.
Les populations d’Europe et du reste du monde ont été sollicitées et mis à contribution (pour ne pas dire escroquées) via les impôts et les taxes écologiques pendant plusieurs dizaines d’années pour sauver notre planète qui se trouvait être, à l’époque, gravement endommagée par notre pollution.
Rappelez-vous du fameux trou dans la couche d’ozone ! Et bien où est-il maintenant ? Dites-moi, s’il vous plaît, où est donc passé ce trou ? A-t-il été recousu par des chinois ? Personnellement j’en doute et n’importe qui, qui serait doté de raison, en douterait naturellement aussi.
Là encore les choses ne sont pas tout à fait claires mais nous avons la mémoire courte.
Avec la recherche sur le virus du SIDA et la quête d’un vaccin, ce sont les mêmes histoires à dormir debout. Ce sont des centaines de milliards provenant de nos impôts qui ont été engloutis dans le financement des labos et personne ne sait aujourd’hui où est passé cet argent. Quels ont été les résultats ?
A-t-on trouvé un vaccin en 50 ans de recherches avec des budgets annuels aussi pharaoniques ? Non.
Mais là, pour la Covid19, comme par hasard, soudainement, comme par enchantement, on a réussi à trouver « 5 vaccins » en moins d’un an.
Mon point de vue de démographe et de sociologue indépendant politiquement et financièrement sur cette situation est le suivant :
- Tout ce qui tourne autour de cette histoire de dite pandémie est d’une extrême ambiguïté.
Mon analyse tire vers le fait que les gouvernements ne sont pas en totale contradiction parce que ce sont des amateurs mais parce qu’ils créent délibérément de la contradiction, de la dissonance cognitive et de l’information paradoxale en continue afin de perturber notre système de raisonnement intuitif pour nous guider plus facilement et sans résistance vers ces injections de code génétique dites vaccinations mRNA.
Dans la publicité ci-dessous, publicité diffusée dans un des journaux « gratuits » au Luxembourg, la rhétorique commerciale et la dialectique manipulatoire gouvernementale parle d’elle-même.
Double page marketing publiée dans le journal « gratuit ».
L’Essentiel du 12 mars 2021. N°3100
- Dans nos esprit rationnels et cartésiens, par raisonnement intuitif, il serait même logique d’arriver à la conclusion que l’idée de ce tous « vers la vaccination » ne reposerait que sur une gigantesque manipulation sociale car occulter le fait qu’il existe des médicaments très efficace contre la Covid19 afin de justifier cette vaccination de masse est à la limite du crime crapuleux. Prétendre officiellement, comme c’est le cas dans la publicité gouvernementale reçu par courrier à domicile, que ci-dessous que « la vaccination est le seul moyen efficace pour arrêter la propagation du virus à long terme et pour nous ramener progressivement à la normalité » est faux. C’est un pur mensonge.
Primo, la Covid19 n’est pas une maladie si grave que cela et secundo il existe des traitements totalement très efficaces et sans danger pour les individus qui contracte cette maladie.
Publicité gouvernementale reçue à domicile faisant la promotion des injections mRNA au Luxembourg
- Les vaccins contre la Covid19 étant étroitement liés à l’octroi d’un certificat de libre circulation et à sa validité s’exprimant selon un QR Code Vert ou rouge attribué par les autorités remet d’emblée en question la notion de notre droit fondamental à la liberté de circuler, de respirer et de vivre comme bon nous semble.
Imaginons un instant qu’un homme, qui est posté sur un trottoir et qui est doté d’une force physique et mentale lui concédant la faveur d’un rapport de force à son avantage, saisissent une femme par le bras, la terrorise, l’empêche de circuler librement ou la séquestre à son domicile physique et psychique en la maintenant dans un état de terreur permanent, la bâillonne et lui dise ensuite que si elle souhaite retrouver sa liberté de circuler et de respirer, de travailler et de socialiser, sa normalité en somme, elle doive d’abord accepter que celui-ci lui introduise des objets dans les narines et la bouche et lui fasse ensuite quelques injections pour son propre bien. Elle pourrait ensuite recouvrer la liberté qu’il lui a confisqué et serait titulaire d’un code attestant qu’elle s’est bien soumise à ses injonctions. Que penserions-nous d’un tel homme et de sa conduite à l’égard de cette femme ? Est-ce que sa place serait encore en liberté ou ce que son comportement le conduirait directement en détention pour acte criminel ?
Dans une société intelligente et saine, il y a fort à parier qu’il ait plus de chance de se retrouver sur les bancs d’une cour d’assise que sur les bancs d’un hémicycle politicien mais les choses nous amènent à penser que nous ne sommes pas dans une société intelligente et saine.
- Du point de vue statistique, rappelons-le, il n’y a pas de pandémie et il n’y en a pas eu en 2020. Les chiffres officiels du gouvernement le démontrent. La bonne question est de savoir maintenant pourquoi le gouvernement luxembourgeois a occulté, dès le départ, le fait que des traitements efficaces contre la Covid19 existent et continuer de persister dans sa volonté indéfectible de vacciner un maximum d’individus et ce dans un temps record ?
S’agissant des masques imposés aux populations
- Les masques ne sont pas là pour protéger les gens mais pour les rendre malades en ce que les masques les empêchent de respirer naturellement et de s’alimenter correctement en oxygène. Les Professeurs Sucharit Bhakdi en Allemagne et Denis Rancourt au Canada ont accompli, entre autres, un travail remarquable sur le sujet. Les masques génèrent, en effet, de l’hypoxie et de l’hypoxémie cérébrale, pulmonaire et tissulaire pour ce qui est des effets graves. Ils génèrent des malaises, de l’acné, des démangeaisons, des effets de suffocations et favorisent l’émergence de pneumocoques pour ce qui est des effets secondaires.
Les autres effets indésirables et délétères sur la santé et le moral des gens et surtout des enfants sont innombrables et on ne peut pas tous les lister ici.
Comme je l’ai expliqué dans une pétition que j’ai posté sur le site internet www.mesopinions.com le 18 septembre 2020 et que j’avais intitulé « sauvons nos enfants de la vaccination obligatoire 10», la bouche est un micro environnement où foisonnent des milliards de micro-organismes non pathogènes tels les virus, les levures, les microbes et les bactéries. S’ils peuvent cependant être pathogènes pour d’autres, tels que les papillomavirus par exemple lorsque les adultes ont certaines relations, la cohabitation chez nous, les hôtes, se passe généralement très bien car nous sommes souvent des porteurs sains. Chez les animaux, les cochons et les chevaux sont presque tous porteurs d’une bactérie que l’on appelle Trichinella Spiralis. Les renards, eux, sont également presque tous porteurs d’échinocoques. Ils n’en meurent pas.
Chez nous les hommes, même si les choses sont un peu plus complexes, le phénomène est le même.
Ce que les enfants ou les enseignants risquent de développer à moyen ou long terme, avec ce port prolongé et régulier des masques, ce sont toute une série de pneumococcyes inédites pouvant être très graves voire mortelles. En effet, et c’est très simple à comprendre, il faut savoir que lorsque vous modifiez l’arrivée naturelle et mécanique de l’oxygène, vous agissez directement et de façon dévastatrice sur cet équilibre micro-organique qui vous tient en bonne santé. L’hypoxie et l’hypoxémie viennent ensuite aggraver ce phénomène destructeur par effet d’accélération.
Je rajoutais qu’une nouvelle panique généralisée, médiatisée et politisée, liée à de nouvelles pathologies justifiera encore plus la nécessité de s’inoculer des vaccins.
- Les masques ne sont véritablement pas là pour protéger les gens mais uniquement pour les maintenir sous pression physique et surtout psychologique. Aujourd’hui, si vous n’avez pas de masque, vous ne pouvez entrer dans les magasins et vous ne pouvez presque rien faire. Demain, ce sera l’attestation des vaccins que l’on vous demandera puis ce sera le QR Code avec la couleur verte que l’on vous a octroyé après avoir accepté de vous faire injecter ces codes génétiques. Si vous n’avez pas été vacciné, vous ne pourrez plus entrer dans les magasins et profiter de la vie. Si votre QR code est rouge, plus de restaurant et plus de cinéma. Plus de piscine, plus de bibliothèque, plus d’accès aux parcs. Peut-être que vos enfants n’auront même plus le droit d’aller à l’école. Plus de voyage et peut-être même plus question de sortir de chez vous. Le masque étant juste une première étape de conditionnement et d’acceptation de cette privation de liberté et de soumission totale à l’autorité. La Covid aura juste été l’élément justifiant la mise en place de ce procédé de contrôle technocratique et totalitaire des populations. En politique, nous appelons ça « la technique du saucisson » parce que ce n’est que tranche par tranche qu’il est possible de mettre en place des lois liberticides ou des restrictions dictatoriales qu’il aurait été impossible de promulguer autrement, surtout dans leur état brut sans réelle justification.
- La perception visuelle étant le premier de nos cinq sens. Les masques sont utilisés dans les relations et les échanges interindividuels comme des outils informationnels et des véhicules de communication. Ils rappellent aux individus que la situation est anormale, dangereuse, qu’il y a une menace, un virus mortel, qu’il est omniprésent et que chaque individu peut en être le porteur, le coupable malgré lui ou la victime potentielle. Autrement dit tout le monde devient une menace pour tout le monde. Pour créer de la schizophrénie et de la paranoïa collective, difficile de trouver mieux.
Aujourd’hui la société est totalement divisée entre d’une part, une majorité d’individus terrorisés, masqués et totalement sous hypnose et sous emprise du narratif officiel, et d’autres part, une minorité d’individus qui ont compris que les choses relevaient de l’absurde et de la Swindle et qui ont bien compris vers quoi on les accule.
- Dire que le masque vous protège est effectivement une escroquerie. Pour le comprendre, il vous suffit juste de réaliser une petite expérience très simple que j’ai moi-même personnellement réalisé pour vous rendre compte que le masque ne protège absolument pas des virus mais que sa fonction est bien celle décrite auparavant.
Mettez non pas 1 mais plusieurs masques l’un sur l’autre et poncez un mur de plâtre ou une planche en bois pendant 30 minutes puis retirez les masques. Regardez ensuite l’intérieur de vos narines. Vous allez y trouvez toute la poussière de plâtre ou de bois à laquelle vous avez été confronté pendant les 30 minutes de l’exercice. Alors penser qu’un masque va vous empêcher de contracter ou de propager un virus de la taille de 0,9 micron ne relève tout simplement pas de l’absurde et de la superstition, cela relève de l’escroquerie.
- En réalité, toutes ces pressions qui sont exercées aujourd’hui sur les individus, jusque chez les plus petits, qui sont pourtant notre avenir et notre unique et véritable richesse à tous, ne sont en réalité mises en avant par les gouvernements que dans le but d’acculer les gens à opter pour cette dite « vaccination » et à accepter l’idée d’une nouvelle forme de contrôle sociale qui passe implicitement par la digitalisation de la vie privée, sociale et professionnelle, se traduisant par la délivrance et l’octroi d’un Green Certificate par les autorités ou les officines privées agrées par les gouvernements. L’obtention de ce certificat étant bien évidemment soumis lui aussi à la condition sine qua none de la réception des premières injections Pfizer, Moderna, Astrazeneca ou Johnson, et peut-être même de leur mise à jour à intervalle régulier car pourquoi ne pourrait-on pas appliquer un business plan informatique qui a marché durant deux décennies, et qui était basé sur l’implantation d’un virus en vue de revendre l’antivirus, à la santé collective. Si nous ne possédons pas tous un ordinateur et qui limite les gains de ce type de marché, nous possédons tous en revanche, riches ou pauvres, grands et petits, une santé à titre ce niche commerciale. Cela nous rappelle un tout petit peu le business plan d’une très grande entreprise informatique que nous ne nommerons pas mais ce ne doit être probablement qu’une simple coïncidence.
Pour finir,
Considérant, l’entêtement et la détermination des gouvernements à obliger, par la contrainte psychologique et la répression physique des forces de l’ordre établi, les populations à se masquer la bouche et le nez tout en continuant de leur faire croire, en se basant uniquement sur la théorie non démontrée et non scientifique, pour ne pas dire « fantaisiste », du docteur allemand très controversé, Christian Drosten, qu’il y aurait dans les populations des gens en bonne santé et sans symptômes et ceux-ci seraient en fait des malades et des assassins potentiels sans le savoir ;
Considérant, l’obstination du gouvernement à vouloir imposer les masques partout et pour tous alors que toutes les études scientifiques sérieuses et dépourvues de tout conflit d’intérêt, dont l’excellente étude 11 du chercheur canadien Denis Rancourt, démontrent que le masque est totalement inefficace pour ce qui est de la protection antivirale et qu’il est par ailleurs dangereux en dehors de son utilisation protocolaire en structure de santé ;
Considérant, le négationnisme politique des managers de la stratégie anti-Covid19 au Luxembourg qui refusent de regarder objectivement les statistiques officielles de la mortalité pour l’année 2020 qui démontrent que la mortalité a été tout à fait normale au Luxembourg et qu’à aucun moment il n’y a eu de pandémie ;
Considérant, le négationnisme politique de la part du gouvernement qui persistent à nier l’existence de nombreux traitements pour soigner les malades atteints par la Covid19 alors que de nombreuses personnalités scientifiques mondialement reconnues, comme par exemple le Dr Peter McCullough 12 aux Etats Unis, s’insurgent de plus en plus pour réclamer le droit et la liberté de diagnostiquer, de traiter et de soigner leurs patients ;
Considérant, la détermination du gouvernement luxembourgeois à maintenir la population sous pression physique et psychologique afin de la pousser vers les injections mRNA par le biais de mensonges, de sophisme et de syllogisme ;
Considérant, le refus du gouvernement d’ouvrir le débat public et démocratique sur la balance bénéfices/risques et la pertinence de vacciner les individus contre une maladie pour laquelle il existe des alternatives thérapeutiques sans aucun danger pour l’organisme ;
Considérant, le refus du gouvernement de communiquer sur les réels dangers de la vaccination et les répercussions futures éventuelles de ces injections mRNA alors que la Convention d’Oviedo le stipule ;
Considérant, le refus du gouvernement de communiquer sur les causes réelles sérieuses, voir originelles, des futures vagues meurtrières qui auront probablement lieu lors des prochaines saisons grippales au fur et à mesure que les vaccinés d’aujourd’hui rencontreront les nombreuses souches sauvages de coronavirus pourvus de protéine Spike naturelle ;
Considérant, qu’au Luxembourg, il n’y a aucun débat démocratique sur la vaccination en générale ;
Considérant que les responsables de la direction de l’hôpital nous ont refusé toutes les informations légalement divulgables eu égard à la loi Kouchner lorsque nous leur avons demandé de nous dire quels protocoles et quels traitements ont été administrés aux malades de la Covid19 pour l’année 2020 ;
Considérant, qu’en date du 29 avril, le Parlement Européen a fait le choix d’imposer à ses ressortissants la titularisation d’un certificat digitale de liberté de pouvoir circuler dans l’Union Européenne attachant cette obtention de certificat à la condition d’être vaccinés et d’avoir reçu au moins deux doses des injections mRNA ;
Et considérant enfin que la justice européenne n’est absolument pas indépendante du pouvoir exécutif comme nous avons pu le voir récemment en Allemagne, où un juge aux affaires familiales de la ville de Weimar, le juge Christian Dettmar, a été perquisitionné à son domicile, intimidé et traité comme un criminel13 en raison du fait qu’il avait rendu un jugement favorable à une famille qui avait porté plainte en référé pour réclamer le droit à ce que les enfants puissent respirer librement à l’école.
Il convient donc par ces motifs de constater que nous dérivons de plus en plus sérieusement et dans une accélération inquiétante vers un nouveau système européen de gouvernance et de gestion politique entièrement calqué sur le modèle chinois. Ce modèle sera davantage axé sur le contrôle social permanent des individus : maintien des distances physiques et sociales, obtentions et délivrances des certificats digitaux de circulation soumises à conditions, obligation de mises à jour régulières de ces autorisations de circuler et de se réunir, généralisation des logiciels de reconnaissance faciale dans les sphères publiques mais également au sein des sphères privées, etc.
Le modèle passé hérité de nos parents et plus horizontalement de nos ancêtres, qui a fait de nous des êtres bons vivants, sociables et aimants, des êtres doués de raison et d’empathie, risque bien malheureusement, de disparaître pour toujours et s’il y a fort à parier que le réveil sera aussi violent que douloureux, le Pacing and Leading, lui, n’aura jamais aussi bien fonctionné qu’aujourd’hui.
Si nous ne nous réveillons pas maintenant, nous vivrons pour toujours dans ce cauchemar artificiel et digital. Un monde transhumaniste qui ne sera absolument pas le meilleur des mondes mais plutôt l’enfer sur terre.
Alors il est plus que temps maintenant de nous rejoindre sur ce qui nous unit et mettre de côté ce qui nous divise et nous clive. Il est temps maintenant de nous lever massivement pour notre liberté et de cesser de nous comporter de façon grégaire.
Quand nous mourrons, nous partirons les mains vides mais nous partirons riches de nos souvenirs et de nos plus belles actions. La liberté s’hérite, c’est vrai, mais quelques fois la liberté se mérite aussi et à certains moments de l’histoire, il faut se lever et se battre pour la conserver. Elle est la plus belle chose au monde et le bien le plus précieux que des parents puissent léguer leurs enfants.
Nous ne le savons pas encore parce que nous berçons en permanence dans ce confort léthargique sans réelle valeur.
La liberté elle, est incommensurable. C’est un trésor inestimable. C’est le trésor de la vie et du vivant, du ciel et de la terre, de l’univers connecté à toute chose, sans chaînes et sans entraves. Nos ancêtres sont morts pour que vivions libres alors maintenant ne les trahissons pas. À nous de montrer que nous l’avons mérité ! Ils nous regardent.
Ils attendent de nous maintenant que nous soyons braves et que nous soyons des modèles pour nos enfants et les générations qui viennent comme ils ont été braves et protecteurs pour nous.
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