Je croyais que la science consistait dans l’examen, libre et rationnel, des faits, et que chacun s’en tenait à sa discipline de prédilection.
Visiblement, ce n’est plus le cas.
À la télévision, et spécialement en ce qui concerne les « vaccins », nous entendons exposés non plus des arguments, mais des dogmes.
Or l’argumentation scientifique, comme nous l’a enseigné Aristote, incite à la prudence. Tandis que les dogmes, eux, incitent à prendre des décisions radicales et dangereuses.
L’inoculation de pans entiers de la population, dont les plus jeunes, avec des produits expérimentaux qui ne sont en rien des vaccins, et dont les conséquences pourraient être incalculables, exigent que nous retrouvions l’usage de la raison.
Et l’usage de la raison, pour sa part, exige que nous posions des questions et que nous interrogions les deux dogmes qui nous sont imposés par la télévision sans que les citoyens aient leur mot à dire :
- Que l’inoculation d’un produit dont on ne sait rien de ses conséquences puisse permettre de se débarrasser du virus une fois pour toute et soit sans danger notable.
- Que ce soit aux médecins de définir les limites de la démocratie, en disant qui doit se faire vacciner ou pas, quitte à mettre en péril la sécurité du pays ou son renouvellement démographique.
Sur le premier dogme, le consensus médiatique apparaît d’autant plus dangereux qu’il représente un risque considérable pour la population entière.
Le second dogme est tout aussi dangereux, puisqu’il décrédibilise définitivement la science médicale et augure d’un tel reflux intellectuel et moral de l’Occident que l’idée d’un âge sombre se profile.
Car lorsque tout repose sur la foi, le respect de la vie humaine n’est plus qu’une façade.
10 Questions urgentes
1/ 99,7% des personnes qui ont été reconnues comme étant touchées par la pandémie en ont guéri. Combien l’ont eue sans le savoir ? N’a-t-on pas atteint cette immunité collective dont on nous parle tant ?
Car le chiffre de 5,7 millions de personnes testées positives1 ne signifie rien en lui-même : les malades asymptomatiques ont-ils été testés quand ils portaient la maladie ? Or il semble qu’ils représentent une proportion considérable des « contaminés ».
2/ Qu’est-ce qui prouve que la prochaine mesure sanitaire vous rendra votre liberté ? Rien. Le virus est extrêmement mutagène, surtout si l’on continue à vacciner pendant l’épidémie elle-même, comme le faisait remarquer Luc Montagnier au directeur de France Soir, Xavier Azalbert2.
3/ Pourquoi l’inoculation du médicament ARN est-elle appelée vaccination ? Le produit ARN n’est pas un vaccin au sens classique du terme. Il n’y a donc pas de raison qu’il se prévale du prestige des vaccins en termes d’éradication des maladies.
4/ Savez-vous qu’en tant que vacciné, vous êtes légalement un cobaye volontaire ? Ceci jusqu’en 2023, puisque la dernière phase de test des effets cliniques de ces produits se fait directement sur la population. En termes légaux, le fait que ces vaccins ne soient pas obligatoires permet pour les pouvoirs publics de n’avoir aucun compte à rendre sur leurs éventuels méfaits.
5/ Savez-vous que le « vaccin » fait courir plus de risques aux enfants que la pandémie ? C’est ce qu’a relevé mon ami Xavier Bazin. Les conséquences sanitaires à court terme de la « vaccination » sont déjà catastrophiques, et elles risquent de s’amplifier à mesure que le temps passe. Dans ce cas, comment peut-on imaginer rendre la vaccination des enfants obligatoire ?
6/ La généticienne Alexandra Henrion-Caude l’a pointé du doigt, de même que Didier Raoult : les « vaccinés » retombent malade, et des questions sur leur possible fragilité face à la maladie se pose. Les « vaccins », ou du moins la « vaccination » durant la pandémie pourrait-elle être contre-productive ? La « vaccination » ne risque-t-elle pas de rendre les gens malades plutôt que de les soigner ?
C’est ce que souligne Stephanie Seneff, professeure en immunologie au MIT, la plus importante université scientifique au monde. Selon un article récemment paru, les effets secondaires de la vaccination risquent d’être bien plus graves que la pandémie elle-même.
Avec « au menu », des pathologies graves ou de long terme telles que les problèmes circulatoires, des maladies dégénératives et auto-immunes3. Sans compter que la protéine « spike » du virus, injectée avec le vaccin, se révèle être un prion, de cette même espèce de molécule qui transforme le cerveau en éponge dans la maladie de la vache folle.
7/ Israël et la Jordanie, qui sont deux pays voisins, ont les mêmes résultats vis-à-vis de la pandémie alors que le premier a mis en place une politique vaccinale très dure, tandis que l’autre n’a rien fait de ce point de vue. La « vaccination » a-t-elle eu concrètement le moindre effet sur la baisse du nombre de cas et de morts ? Aucune étude ne l’atteste. Surtout lorsque la politique vaccinale a été réalisée au printemps, au moment où les maladies grippales refluent… En somme, on nous vend un sirop pour la toux au mois de mai…
8/ La « vaccination » est-elle efficace contre les variants ? Ou traiter la population en cobaye serait-elle la nouvelle tendance ? Comme le note La Croix, journal pourtant guère suspect de conspirationnisme, aucune étude n’affirme l’efficacité des « vaccins » au-delà de 6 mois !4
9/ L’académie de médecine, qui ment éhontément dans sa déclaration du 25 mai dernier en qualifiant la pandémie de « souvent mortelle », souhaite que les forces de l’ordre, les militaires, les pompiers, les professeurs, tous ceux qui s’occupent des infrastructures et l’ensemble de l’administration se fassent « vacciner ».
Si, comme l’a relevé le prix Nobel de médecine Luc Montagnier5, le vaccin ARN entraîne des possibles risques de cancer, à quoi ressemblera le pays avec une partie non négligeable de son infrastructure humaine gravement malade ? Qu’en est-il avec les nombreux problèmes cardiovasculaires rapportés – dont les thromboses ? N’est-ce pas faire courir un risque grave au pays entier ?
10/ Aucune étude n’atteste encore des conséquences à long terme des « vaccins » contre la pandémie. Or une récente étude japonaise a prouvé que la protéine « spike », dont la nature toxique n’a pas été révélée au grand public, se répand dans la totalité du corps après vaccination, avec une prédilection pour le foie, et que les organes génitaux n’y échappent pas6.
De plus, on a observé chez les femmes vaccinées des saignements de l’utérus, des règles plus abondantes et plus douloureuses7. Les gynécologues qui estiment qu’il n’y aura aucune conséquence de long terme s’avancent beaucoup, surtout en l’absence d’étude.
D’où l’importance d’éviter de « vacciner » les enfants et les jeunes adultes qui pourraient subir toute leur vie les conséquences encore inconnues de ces traitements, alors qu’ils ne sont pas affectés par la maladie. S’il y a le moindre risque d’affecter la santé génitale de la jeunesse, pourquoi prendre le risque inutile de sacrifier l’avenir de nos pays ?
On n’aime jamais assez la liberté
Ces questions élémentaires relèvent du principe de précaution, et surtout, interrogent l’un des éléments les plus importants du serment d’Hippocrate : avant tout, ne pas nuire.
Il relève de chacun de nous d’utiliser notre esprit critique, et de ne pas céder au discours médiatique dominant – au contraire. Il n’y a pas de discours objectif, surtout lorsqu’il est dominant.
Le temps des politiques médicales d’urgence est depuis longtemps passé. Au bout d’un an, la santé est redevenue une question démocratique et politique qui interroge chaque citoyen en son âme et conscience. Et l’unanimité médiatique, ainsi que les dogmes dont elle se réclame, paraissent, à ce titre, particulièrement suspects.
Quoiqu’il arrive, je vous encourage à vous poser des questions, à exercer votre esprit critique, et à ne pas céder un seul pouce de votre liberté si vous n’y êtes pas directement contraint.
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