Je pensais intituler ce courrier « Lettre ouverte aux imbéciles » voire « Lettre ouverte aux emmerdeurs » mais le reste de charité chrétienne qui agit encore en moi me demande justement de ne pas être insultant et de rester charitable. « Lettre ouverte aux emmerdeurs » serait toutefois plus justifié. Car vous m’emmerdez, vous les vaccinolâtres. Vous m’emmerdez en empiétant sur ma vie. Grâce à vous et à votre influence de médecin de plateau de télévision aux conflits d’intérêts non déclarés, grâce à vous, philosophes de quatre sous à qui tous les médias de propagande tendent leurs micros, grâce à vous, intellectuels de pacotille ; grâce à vous, politiciens de bazar, grâce à vous, journalistes bien-pensants et tout ce qui « fait l’opinion », vous tous, êtes en train de me gâcher l’existence en incitant nos gouvernants, mis en place par l’oligarchie internationale, à virer carrément au « Passisme Sanitaire ».
Vous dites à qui veut l’entendre que moi et quelques centaines de millions d’autres, fort heureusement, récalcitrants à l’idée de se faire vacciner- récalcitrants ou arriérés c’est selon - ces gens dont je fais partie et qui restent prudents sur des produits en cours d’expérimentation, sommes responsables de l’aggravation de la pandémie en cours. Je vous invite à regarder quand et comment l’OMS a changé la définition de ses normes entre une épidémie et une pandémie, mais cela est déjà de l’histoire ancienne.
Que les canailles politiciennes sans scrupules et sans morale, qui ont été placées à la tête du pays par des organisations oligarques, prennent des décisions inacceptables dans les mœurs et inapplicables dans les faits qui tendent à un contrôle de la population digne du roman de Georges Orwell, 1984, cela est normal, naturel. Ils sont là pour ça. Il n’y a là aucun secret, aucun complot. Philippe de Villiers nous informe dans son dernier ouvrage « Le jour d’après » : il n’y a pas de complot, tout est à ciel ouvert, sans cachoterie, aucune. Les visées de Messieurs Schwab, Soros, Gates et autres censeurs du type Zuckerberg, des progressistes de toutes obédiences s’étalent au grand jour sur le web et dans des ouvrages papier.
Le complot est caché, c’est ce qui fait les complotistes. Ici rien n’est caché, tout est déclaré, prévu annoncé et mis en œuvre. Il suffit juste de vouloir chercher et de le faire. Que vous ne le fassiez pas n’est pas surprenant : vous ne voulez pas être contaminés par la vérité. C’est votre droit et je le respecte. Ce que je ne respecte pas chez vous, c’est votre propension à me traiter d’ignorant, de complotiste, voire de salaud qui trimballe le virus et le donne à la planète entière, chaque non vacciné est devenu pour vous un pangolin en puissance.
Mais enfin qui suis-je, face à vous, médecin et philosophe, influenceurs qui murmurent à l’oreille des idiots, pour avoir une opinion sur le coronavirus ? Suis-je médecin ? Microbiologiste ? Sociologue ? Infectiologue ? Nenni point, je me classerai plutôt comme un infect sociologue. Comme un simple citoyen, si cela veut encore dire quelque chose pour vous. Citoyen donc, concerné par la santé publique, puisque j’en suis partie prenante et que l’on veut expérimenter sur moi une technologie nouvelle dans la vaccination. Technologie certes déjà connue dans d’autres domaines et que des spécialistes de l’ADN et de l’ARN, de réputation mondiale, m’invitent à prendre garde en m’informant. Là aussi, l’accès à l’information est libre et gratuit, mais là aussi il faut le vouloir et faire une démarche. En attendant il est plus facile d’aller sur les médias mainstream, puisque les micros de ces médias sont ouverts à tous les thuriféraires du « Great Reset » et de lâcher sa pensée d’imbécile facistoïde : tel journaliste déclarant que les opposants au vaccin expérimental Covid devraient être vaccinés de force entre deux gendarmes. Gendarmes qui, comme les policiers, curieusement, seront exemptés par le gouvernement de l’obligation vaccinale. Gendarmes et policiers qui contrôleront les établissements dans lesquels le passe sanitaire sera exigé. Gendarmes et policiers qui pourront être infecté contrôleront des gens censés ne pas l’être. La Frankasubrdistan se dépasse. Ce laissez-passer ne sera pas demandé à l’Assemblée Nationale, un des rares lieux où il ne sera pas contrôlé. Cet Ausweis sera par contre nécessaire à l’hôpital pour accéder aux soins.
Le 23 juillet 2021 l’Assemblée Nationale, qui curieusement siège toujours au Palais-Bourbon, sous couvert de crise sanitaire, vota les plus grandes lois liberticides de la Vème République par 177 voix pour et 88 contre avec un nombre important de députés absents. Nous voilà prêts à revivre les heures les plus sombres de notre histoire, dont les progressistes nous rebattent les oreilles, lorsque le 10 juillet 1940, le Parlement vota les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain.
Comme ce vote eut lieu à Vichy et non au palais Bourbon, ce ne fut pas là le fait du Prince…
Les journalistes, les rédacteurs de chaînes de télévisons invitent dans leurs émissions de fabrique d’opinion des prétendus sachants sur le sujet. Et quoi de mieux que d’inviter un Infectiologue, se faisant idéologue pour les besoins de la Cause vaccinale ? Encore que se faire idéologue pour servir sa cause est chose légitime, mais certains sautent rapidement l’obstacle et l’idéologue passe rapidement à la réduction ad hiltlerum :
« On a de bonnes chances d'arriver à la fin de l'épidémie si on se tient à la stratégie qu'on a décidé hier soir1 ». Mais, pour l'épidémiologiste, le combat n'est pas pour autant gagné. Très remonté, l'Infectiologue s'en est pris aux anti-vaccins, qu'il estime plus dangereux que le Covid lui-même. « Aujourd'hui, il y a une guerre et cette guerre, elle est contre les anti-vax. Je le dis clairement, ce sont des gens qui n'ont aucun scrupule, qui utilisent les pires méthodes et qui font extrêmement mal dans le monde entier... C'est notre vrai ennemi collectif. Ce n'est plus le virus, parce que le virus, on peut le combattre, c'est l'influence des anti-vax »
« Emmanuel Macron a eu raison d'être ferme parce qu'il ne faut pas être mou face à ces gens. Ils sont aussi dangereux que d'autres groupuscules qu'on a l'habitude de montrer du doigt. Il ne faut pas les prendre à la légère. Ils sèment le doute dans la tête des gens et les conduisent à faire des mauvais choix. Ils disent des contre-vérités et n'hésitent pas à utiliser tous les arguments possibles pour faire adhérer les gens à leurs thèses. Et c'est extrêmement difficile d'extraire ces thèses anti-vax de la tête des gens une fois qu'ils ont été infectés. » Pour Martin Blachier, le combat semble aujourd'hui autant idéologique que sanitaire : « Il y a le souhait de certaines personnes, grâce aux réseaux sociaux, de contaminer le cerveau des gens avec des fausses idées... Donc il faut qu'on prenne l'habitude d'être extrêmement fermes face à ces idées-là.2 »
Peut-être serait-il bon de rappeler à nouveau que ces vaccins en sont toujours au stade expérimental. Que cette phase d’essai se terminera en 2022 et en 2023 pour la plupart de ces expérimentations vaccinales génétiques. Comme l’a intelligemment fait remarquer une personnalité politique ou un comique3 « il a fallu soixante-dix ans pour s’apercevoir que la chloroquine est dangereuse, alors un vaccin dont on nous certifie la fiabilité en six mois… »
Peut-être serait-il bon de rappeler à nouveau que ces vaccins en sont toujours au stade expérimental. Que cette phase d’essai se terminera en 2022 et en 2023 pour la plupart de ces expérimentations vaccinales génétiques. Comme l’a intelligemment fait remarquer une personnalité politique ou un comique3 « il a fallu soixante-dix ans pour s’apercevoir que la chloroquine est dangereuse, alors un vaccin dont on nous certifie la fiabilité en six mois… »
Peut-être faudrait-il rappeler aussi que les « citoyens » pas plus que les députés européens ou nationaux n’ont eu accès aux contrats passés entre les fabricants et la Commission Européenne. Contrats desquels peu de choses ont filtré, mais on sait tout de même que les sociétés pourvoyeuses de ces technologies génétiques déclinent toutes responsabilités financières d’indemnisation en cas d’effets secondaires. Bien évidemment des dizaines de médecins déclarent aujourd’hui en chœur et en boucle qu’il n’y a aucun effet secondaire. Faisant fi même des recommandations de l’OMS ou des rapports officiels des administrations de santé. Si le soleil se levait à l’Est on le saurait, non ?
Martin Blachier ne nous dit rien sur le vaccin russe, adopté par de nombreux pays mais rejeté par les démocraties de l’Union Européenne. Il faut dire qu’à près de cinq cents interventions de plateaux de télévision, le champion toutes catégories de la chasse aux non vaccinés, en a peut-être touché un mot. Préparer 500 interventions « plateaux » laisse peu de temps pour voir des patients ou lire des études de façon approfondie qui se marient mal avec le business de la modélisation médicale dont Martin Blachier est partie prenante.
La « modélisation » médicale, tout comme la « modélisation » climatique est une sorte de devinette sur l’avenir qu’on enrobe d’un vocabulaire pompeusement scientifique, accompagnée de courbes ascendantes en rouge, mais dont les annonces apocalyptiques ne voient jamais le jour. Les soins bien évidement ne font pas partie du bagage médical de monsieur Blachier et les médecins, fussent-il professeur et mondialement reconnus, essayant de soigner cette maladie ont eu droit aux foudres de ce Sujet supposé Sachant de Plateau de télévision : « Curare prohibere, postea nihil facere, ensuita vaccinare »
Chose curieuse, à l’heure actuelle, je constate qu’autour de moi, je connais plus de personnes malades après vaccination que de personnes malades de la Covid 19.
Mais tant de choses sont curieuses dans cette affaire Virus, qui plus d’un siècle après l’affaire Dreyfus, divise autant les français, quelle que soit leur couleur politique ou leur classe sociale.
Que des Diaforus prétentieux et malfaisants s’arrogent le droit de préempter les corps des citoyens n’est pas une surprise ; le philosophe Michel Foucault, dans son admirable travail sur le corps et l’hygiène, nous a prévenus que ce biopouvoir serait le totalitarisme de l’avenir.
Les médecins ne sont pas obligés de lire les philosophes qui ne se sont pas privés d’occuper l’Agora et de donner leur opinion éclairée. Parfois de façon réfléchie et posée, comme François Xavier Bellamy, un des rares, dans une admirable tribune publiée dans le Figaro le 14 juillet 2021. Cela est d’autant plus lucide et courageux puisque la plupart des ténors et des alti de son camp (LR) approuvent la ségrégation sanitaire qui se met en place.
Admirable tribune dans laquelle en peu de mots percutants le philosophe saisit toute l’importance de ce qui est en train de se jouer dans cette crise sanitaire sur laquelle on a posé un dôme de verre grossissant, crise qui tue principalement des gens en âge de mourir. Revenir sur les chiffres des victimes et leur âge serait indécent.
À côté de cette tribune écrite à l’aune du bon sens, nous avons vu des « philosophes » cédant à la panique, ignorants ou aveugles aux dangers de l’expérimentation en cours et au basculement de société qu’a très bien perçus F.X. Bellamy.
Le plus risible d’entre eux, si toutefois la situation se prêtait à rire, fut la prise de position de Michel Onfray, philosophe à l’intelligence aussi brillante qu’inutile. Monstre de mémoire qui a lu quasiment tous les philosophes mais n’en a certainement compris aucun. Sa prise de position n’est pas nouvelle et date de plusieurs semaines. Michel Onfray, le philosophe libertaire, qui confond dans ses propos confus l’interdiction et l’obligation. Ce subtil dialecticien est un farouche partisan de la vaccination obligatoire. Pour justifier la contrainte qu’il aimerait voir imposer à la population, il joue de la moraline la plus puérile, en mettant en avant que la France est le pays de Pasteur. Michel Onfray ne sait peut-être pas que Louis Pasteur, en testant son vaccin eut des échecs sérieux, plusieurs ratages finirent par la mort des cobayes humains. Avant d’être définitivement mis au point, le vaccin de Pasteur tua. Cela ne gène en rien le philosophe que soit expérimenté sur des millions de personnes une technologie vaccinale tout à fait nouvelle et sur laquelle aucun recul n’existe. Bien évidemment Michel Onfray, comme tous les vaccinolâtres ne parle pas de soins pour cette maladie.
Car, même si cela peut paraître dérisoire de le rappeler, la première réponse de la médecine à la maladie est l’application de soins et de remèdes, et ce, même avant Hippocrate !
En France, à l’heure actuelle, aucun protocole de soins n’a été retenu pour lutter contre cette maladie. Les médecins qui publièrent, soignèrent ou firent des communications restreintes à leurs confrères furent pourchassés, soit par le Ministère de la santé, soit par l’Ordre des médecins.
Le Ministre de la Santé profita d’un faux publié par la fameuse revue The Lancet pour interdire définitivement un traitement qui avait fait ses preuves in vivo et qui ne fut jamais expérimenté en Europe en essai randomisé selon le protocole utilisé. Les études sortant d’officines fiables aussi prestigieuses que l’Institut Pasteur 4 ne sont pas suivies d’actes ou de mises en pratique. Les médicaments utilisés à l’étranger in vivo, au hasard la Corée du Sud et le Sénégal, dont l’efficacité a été prouvée sont rejetés d’un revers de main par les autorités médicales françaises, qui ne jugent « scientifiques » que les études menées en France.
Michel Onfray doit être content de l’ensemble de ses déclarations puissamment relayées par les médias, puisque Le Président Macron dans son rapt liberticide du 12 juillet 2021, cita la France comme le pays de Pasteur pour imposer l’obligation vaccinale déguisée de toute la population.
Notre grand philosophe a été entendu et compris par l’homme qui a évité à la France les quatre cent mille morts en décrétant le deuxième confinement !
La position du philosophe n’est pas étonnante, on peut s’attendre à tout de la part de quelqu’un qui écrit un traité d’Athéologie et se déclare « consterné » lorsque le pape interdit la messe en latin !
Le voilà qui se répand devant tous les micros du monde pour dénoncer la perte de ce trésor de l’Occident. Même Charles Maurras aurait été plus timide que celui qui se prend soudainement pour le chef du Parti catholique. Michel Onfray est quelqu’un qui se réclame, tardivement, du camp de la nation, mais qui fonda l’Université Populaire lorsque qu’un nationaliste arriva au second tour. Quelqu’un qui écrit un tissu de mensonges et de mauvaise foi dans un livre qu’il consacre à Freud lorsque les thérapies cognitives débarquent en force des États Unis. Bref, quelqu’un qui connait très bien le « en même temps » et dont la pensée a autant de recul que l’expérience vaccinale en cours.
On pourrait croire que nous découvrons là un idiot utile qui murmure à l’oreille des imbéciles. Nous ne lui prêterons toutefois pas autant d’importance. Dans sa vie de girouette politique le philosophe, avant de découvrir la grandeur de la nation catholique qu’était la France, appela à voter tour à tour José Bové, NPA, Mélenchon... À qui le tour, à l’heure du pays de Pasteur ? Le voilà aujourd’hui de passage sur les plateaux avec un ouvrage patriote : « L’art d’être français ». Voilà pour l’heure un sujet porteur. Après être passé du statut de philosophe de bobos, le voilà aujourd’hui le philosophe des fachos. Tout le monde évolue, la mode aussi.
Dans cette lettre que j’adresse aux vaccinolâtres et qui j’espère fera plaisir aux personnes lucides, on me reprochera peut-être de m’être arrêté à la critique d’un « médecin » et d’un « philosophe ». Hélas, les imbéciles sont trop nombreux et je ne peux consacrer un mot à chacun ; un ouvrage entier n’y suffirait pas. Je n’aborderai pas ou très peu le volet politique, le changement radical et total de la société qui se met en place. D’autres l’ont fait avant moi et les choses en ce domaine peuvent très vite évoluer ou surprendre. Il y a en vérité peu à en dire, à moins de tourner en rond dans un rabâchage ennuyeux, car beaucoup de Français ont déjà oublié les cafouillages ahurissants de ce gouvernement et je ne parle ni des masques ni des tests. Je tairai aussi la propagande démesurée des journaux de vingt heures, la grande messe du bourrage de crâne où l’on voyait filmé pour la cause le départ de convois de TGV gare Montparnasse en direction de la Bretagne, le transfert de patients en réanimation, alors que les lits de réanimation des hôpitaux privés parisiens restaient vides.
Beaucoup ont déjà oublié le montage d’un hôpital militaire de campagne, sujet glorieux des journaux télévisés du soir, afin de soulager l’hôpital civil. Il a fallu une dizaine de jours pour monter un hôpital sous tentes comprenant trente lits de réanimation.
Les chinois, au début de l’épidémie, ont construit en dix jours deux hôpitaux en dur de plusieurs milliers de lits. Nos chefs d’état-major, qui défilent comme des intérimaires chez Manpower, ne cessent de nous dire « nous sommes menacés » en pointant le menton vers l’Empire du Milieu…
Il serait toutefois difficile d’exclure de ce mode épistolaire la méthode, que les politiques et les dirigeants à la botte des oligarchies mondiales, utilisèrent pour prendre le contrôle total de nos vies. L’amendement n° CL185 du 20 juillet 2021 déposé par la députée Emmanuelle Ménard stipulant que « L’objectif de cet amendement est de rappeler que le pass sanitaire n’a pas vocation à durer et que son usage doit être strictement proportionné à la gravité de la situation sanitaire. » a été rejeté par l’Assemblée Nationale5.
Que l’épidémie perdure ou que le virus disparaisse, la ségrégation vaccinale, elle, ne doit pas disparaître. La société à deux vitesses doit se mettre en place. La population à la traçabilité vaccinale, contrôlée par les garçons de café, semblable aux animaux d’élevage, sera suivie par les technologies modernes avec un QR code et pourra bénéficier de loisirs, de sorties, de vie sociale, elle sera autorisée à voyager. Les non tracés se contenteront du métro-boulot-dodo ou de la mise à la porte. Mais la position intenable des non possesseurs du sésame sanitaire ne pourra pas durer longtemps, petit à petit, les rebelles afflueront vers les « vaccinodrômes » et rentreront dans le rang. L’accès à tous les lieux publics leur étant interdit, même les soins en établissement hospitalier ainsi que les visites aux hospitalisés, aux parents en maison de retraite, etc. Chacun se hâtera de recevoir sa troisième ou quatrième dose, voire sa huitième au gré des « vagues » de l’épidémie et des variants qui s’étendront jusqu’à l’Omega. Les technologies évoluant sans cesse, parions que le QR code sera bientôt obsolète, une puce électronique sous la peau sera beaucoup plus fiable et plus pratique pour passer sous les portiques sécuritaires. Le vœu de Monsieur Bill Gates serait enfin réalisé.
Ne soyons pas complotistes.
M.M.
NOTES
1. Discours liberticide du Président Macron du 12 juillet 2021.
2. Martin Blachier le mardi 13 juillet dans le 20 heures de Darius Rochebin sur LCI.
3. En France, il est parfois difficile de faire la différence.
4. Essais probant de l’Ivermectine sur des hamsters.
5. Source : site Internet de l’Assemblée Nationale.
Partager cette page