Sur l'auteur
Sébastien Teissier est né à Bucarest, dans une famille très modeste. Il fait sa scolarité en France selon le schéma usuel. Durant son enfance, il voyage beaucoup, en Europe, Afrique notamment et se passionne pour les langues étrangères.
Il qualifie ses voyages comme « une ouverture sur le monde empreinte de la frustration de ne pouvoir être l’hôte de toutes ces cultures qui s’offrent à nous ».
Puis le temps des études arrive, un premier master en poche, il entre dans la vie active. Jusqu’au jour où un accident de voiture vient lui rappeler à son bon souvenir que nous sommes tous mortels et de passage plus ou moins long sur Terre. Il décide donc changer de vie, de faire des choses qui ont un sens pas seulement pour lui, mais surtout pour les autres.
Il effectue un second master « recherche » et en parallèle un diplôme universitaire à la faculté de médecine de Montpellier sur les maladies neurodégénératives.
Avant de postuler en thèse de sciences qu’il abandonnera pour faire l’école de « masso-kinésithérapie de Montpellier », il créé avec deux acolytes une entreprise sur les technologies médicales. Il dépose également un brevet européen toujours dans ce domaine des technologies médicales.
Initié à la recherche scientifique, notamment sur la maladie de Parkinson, il entame une thèse qu’il abandonnera. La recherche devient pour lui une passion, comme il aime le dire « j’ai mis la main et ça m’a pris le bras, pour au final me prendre le cœur ».
Ses travaux l’ont mené à voyager, échanger et surtout rencontrer des personnes extraordinaires, qui pensent « d’abord à être utile, avant de devenir importantes ».
Il s’est abondamment nourri de ses rencontres, de ses échanges et de toutes ces personnes rencontrées en cours de son cheminement, car selon Sébastien « la vie n’est au final qu’un cheminement, et non une route qui est très souvent déjà tracée, en effet le cheminement n’est que la projection du désir d’avancer selon son cœur ».
Après son départ de l’entreprise qu’il avait contribué à créer, il intègre l’école de masso-kinésithérapie de Montpellier. Dans le cadre de son cursus il s’intéresse avant tout aux autres et au devenir d’une profession qu’il embrasse avec cœur, en devenant « chargé de mission scientifique » au sein du bureau national de la FNEK (Fédération Nationale des Étudiants en Kinésithérapie) afin de promouvoir celle-ci et agir dans l’intérêt de tous. Poste qu’il quitta en janvier 2018.
Dans le cadre de ses activités extra-universitaires, il s’implique bénévolement dans des associations et autres projets plus personnels, comme la poursuite de ses travaux de recherche notamment sur la maladie de Parkinson, qui l’avait amené à publier certains de ses travaux scientifiques.
Le début de l’année 2018, est synonyme de nouveaux projets, dont l’intégration à l’équipe de rédacteurs de la revue, avec la prise en charge de la chronique « santé » de la revue, mission qui le tient à cœur.
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