Les larmes ont tant tissé
De révolutions enchanteresses
Pas de progrès
C’est très bien ainsi
Dieu soit loué
Que les ailes des anges
Ont fini en fichus
Les samizdats distribuent
Leur lot de liberté
En lectures conditionnelles
Au peuple ému de savoir
Pire encore mais si peu
Des poèmes vénitiens aux yeux clos
Des strophes arrosées de petite eau
Des vers au puits de la Samaritaine
Ce qui compte ce qui peine
Ce qui vaut, ce qui coute
Le dessein, le chemin
Décider de son pas voilà tout.
Jean-Marc Collet
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