La crise sanitaire due au coronavirus paralyse l’Europe et plus particulièrement l’Italie, la France, l’Allemagne et l’Espagne.
Le confinement obligatoire imposé aux populations nous laissera un goût amer pour les prochains mois et, avec certitude, pour les prochaines années tant sur le plan économique et financier que sur le plan humain.
Traumatismes en tout genre et morosité du peuple conduiront le citoyen social-démocrate français à élire encore et encore le « manipulateur » qui aujourd’hui a remonté merveilleusement sa cote de popularité à 53% d’opinions favorables (au plus bas avant la crise sanitaire).
Les complices du système politique se sont tous groupés derrière leur chef. Emmanuel Macron et ses acolytes ont organisé ce confinement pour une grippe extrêmement contagieuse.
Mais à qui profite ce crime ?
Le virus (ou peut-être une autre souche) semblerait avoir été inventé en laboratoire alors que le SRAS chinois sévissait en 2003. D’ailleurs, l’institut Pasteur a participé en 2004 à un brevet de coronavirus dont il est titulaire. La question est : pourquoi créer ce genre de virus en laboratoire et à quelles fins ?
Les partis politiques français en présence aujourd’hui ne s’opposent pas et se rallient même pour dire que cette privation de liberté actuelle est nécessaire à l’éradication de cet affreux virus.
Mais combien de vies animales allons-nous détruire mondialement au profit de capitalisme ? Le laboratoire qui mettra le premier en vente le vaccin gagnera des sommes exponentielles !
Les puissantes banques réussiront à faire fonctionner la planche à billets pour mieux nous endetter et contrôler nos activités. Israël avait fermé ses frontières la première. Aucun mort à ce jour. Agnès Buzin mariée à Monsieur Lévy, immunologue, avait prévenu. Mais comment savait-elle ? Chose étrange, le médecin chinois qui a découvert le virus est mort ! (Naturellement du coronavirus ?)
Les chiffres des victimes s’analysent en fonction du nombre des seuls cas déclarés et affolent ainsi les populations en communiquant un taux de mortalité élevé. Ce taux est bien inférieur si l’on ajoute le nombre de cas asymptomatiques et les cas non déclarés.
Le nord de l’Italie compte de nombreux morts. N’est-ce pas dû à la pollution des villes et à ces particules fines qui détruisent peu à peu notre corps (avec des risques d’asthme, d’AVC, de crise cardiaque ou cancer du poumon ?)
L’Italie n’a pas demandé d’aide à l’union européenne. Ceci s’explique peut-être par l’abandon en d’autres temps de la Serbie par l’UE ?
Ce virus va de façon considérable affaiblir l’Europe. Peut-être est-ce voulu par ceux qui veulent voir une Europe Sociale-démocrate et non une Europe aux montées nationalistes ?
L’Europe ne fait que nous priver de libertés de plus en plus. Ces libertés sont confisquées (et non confinées) au profit d’un système de bien-pensance ou les oppositions sont muselées car financées par des soft power qui font d’elles des oppositions nécessaires. Sans ces dernières comment arguer que la démocratie existe encore !
22 mars 2020, alors que Rome vient d’annoncer la mort de 800 malades en 24 heures, le ministère russe de la Défense annonce l’envoi d’une centaine de virologues militaires « expérimentés » en Italie.
La Russie, qui, il y a encore quelques années, était un pays fermé s’est ouvert à l’internationalisation et a ainsi changé la donne.
Là où les Etats-Unis apparaissaient comme une terre de liberté, ils sont devenus aujourd’hui le pays du mal, siège des plus puissants oppresseurs.
Là où la Russie apparaissait comme le diable du monde elle est maintenant perçue comme celle d’où pourra venir la liberté.
L’Europe ne peut donc se concevoir qu’à l’échelle du continent et comme le dit le Président russe Vladimir Poutine, « de Lisbonne allant jusqu’à l’océan Pacifique et l’Extrême-Orient » (1) (quand Charles de Gaulle disait de « Lisbonne à Vladivostok »).
Vladimir Poutine ouvre la route à une autre Europe, celle de la liberté face aux dictatures financières et aux pays socio-démocrates dont la France fait partie.
Aujourd’hui, notre cher Auguste Bartholdi ne désapprouverait peut-être pas le transfert de sa statue de la liberté à Moscou.
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