C’est la question que l’actualité pose ces jours-ci, non pas carrément mais de manière indirecte, soit à travers l’histoire des prénoms d’Éric Zemmour, soit à travers l’apprentissage de l’arabe à l’école, soit même à travers les propos de Yann Moix, chroniqueur de l’émission « Les terriens du samedi » sur C8. Tout cela relève d’un même état des lieux, la désintégration.
La capitulation de l’état centrale amène l’anarchie culturelle.
Il est évident que pour faire peuple et tendre vers l’assimilation, les immigrés devraient donner un prénom issu du calendrier à leurs enfants. C’était logiquement obligatoire en France jusqu’à ce que Mitterrand, sans la moindre vue prospective, en décide autrement. Du coup les enfants des nouveaux entrants s’ancrent dans le pays de leurs parents et ignorent l’histoire de celui dont ils ont les papiers. L’apprentissage de l’arabe, pourquoi pas d’ailleurs le turc, le perse ou que sais-je, est la mesure d’un gouvernement qui s’est donné pour mission de saborder l’indivisibilité de la république française.
L’assimilation ou simplement l’intégration étant rejetées, une féodalité s’installe avec ses fiefs comme dans tout nouveau pays en formation. Le vrai pouvoir politique décentralisé, atomisé, nucléarisé se base sur des liens de fidélité, des liens contractuels et sur des liens de parenté et de lignage dans les quartiers comme on les appelle maintenant.
La police, vilipendée par M. Moix, n’y entre pas, puisque le pouvoir parisien renonçant à ses lois, préfère tenter un jeu d’alliance avec les caïds de banlieues (de moins en moins de prison pour les crimes et délits, des subventions à des associations d’évidence corrompues, l’acceptation des lois de la charia, etc…) plutôt que de les mettre au pas.
C’est aussi un effet du droit de l’hommisme qui fustige toute bavure y compris et surtout contre les criminels. Le policier ne fait que représenter l’autorité publique mais si l’état refuse d’exercer cette autorité et pour l’exercer il faut de la violence physique, de la répression, des punitions, le policier devient désarmé. LA CHASSE est ouverte sur le Français de souche ou celui qui l'est devenu LE BLANC demain !!
« Ne m’appelez plus jamais France ! » Ce n’est pas la demande d’un paquebot mais la supplique d’un PAYS ENTIER qui disparaît.
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